ATP Banja Luka : Barrère et Gasquet éliminés au 2e tour, il n'y a plus de Français en lice dans le tournoi
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Mis à jour 20/04/2023 à 16:05 GMT+2
ATP BANJA LUKA - Grégoire Barrère ne verra pas les quarts de finale et Novak Djokovic à Banja Luka. Le Français a subi la loi d'un autre Serbe, Dusan Lajovic, 70e mondial, jeudi au 2e tour, ne parvenant à sauver que trois petits jeux (6-3, 6-0). Et il n'y a plus de Français en lice puisque Richard Gasquet s'est incliné plus tard dans la journée sur le fil contre Damir Dzumhur (6-4, 1-6, 7-6).
Lajovic sans pitié pour Barrère : les temps forts de sa victoire au 2e tour
Barrère n'a pas existé
Le suspense n'aura duré que six jeux. Le temps pour Grégoire Barrère de débreaker Dusan Lajovic (de 3-0 à 3-3) avant de... s'effondrer. Jeudi, au 2e tour de l'ATP 250 de Banja Luka, le Français a totalement perdu le fil contre le 70e mondial serbe - et ancien finaliste à Monte-Carlo en 2019 - qui a fait valoir sa science du jeu sur terre battue. Ce dernier a remporté les neuf derniers jeux pour plier l'affaire (6-3, 6-0) en 1h04 de jeu.
Complètement dépassé, Barrère n'aura ainsi marqué que 4 minuscules points (sur 29 !) dans la seconde manche. Cette victoire expéditive permet à Lajovic d'économiser de l'énergie dont il aura assurément besoin pour le défi majuscule qui l'attend contre son illustre compatriote Novak Djokovic en quart de finale.
Gasquet coiffé au poteau
Pour Richard Gasquet, il y aura davantage de regrets. Face au Bosnien Damir Dzumhur, 202e joueur mondial et invité par l'organisation du tournoi, le numéro 1 tricolore a eu sa chance. Mal parti, il semblait avoir le vent en poupe après le gain aisé de la deuxième manche, mais il n'a pas su entretenir sa dynamique jusqu'au bout. Le Biterrois a finalement baissé pavillon au tie-break du troisième set sur le score de 6-4, 1-6, 7-6 en 2h41 de jeu.
C'est d'autant plus dommage pour Gasquet qu'il a eu un break d'avance dans l'acte décisif avant de voir son adversaire revenir à 3-3. A 4-4, il a encore obtenu une occasion de ravir l'engagement de Dzumhur, sans parvenir à la saisir. Le Biterrois a notamment fini par payer un pourcentage de premières balles trop moyen (56 %) dans un match où il aura fait 5 fois le break, contre 4 à son adversaire, plus efficace dans le "money time".
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